Pour l'apéro dinatoire de samedi avec les potes, j'ai eu envie d'une terrine maison, du genre de celles qui se tartinent sur une belle tranche de pain de campagne en croquant dans des cornichons, et en se léchant les doigts quand y'en a plu. En même temps, je dis ça alors même que je ne suis pas très terrines, et autres pâtés, alors allez savoir pourquoi cette envie ... mais bon, c'est un principe, il vous savoir écouter ses envies !
Comme j'en ai jamais fait, j'ai fait un petit tour de plein de recettes sans avoir de coup de foudre, et puisque j'avais en parallèle décidé de faire un peu le vide dans mon frigo et congélo, je me suis lancée dans ma terrine, inspirée par toutes les recettes consultées et par les ingrédients à ma disposition.
Et bien vous savez quoi ? Voilà une terrine qui a fièrement trôné sur la table, et dont la dégustation n'a pas fait un pli (je crois même en avoir vu quelques uns se lécher les doigts, mais chuuuut je ne dirais rien !).
Ce qui est étonnant, c'est que tous l'ont trouvée délicieuse, bien assaisonnée et pas grasse, mais personne n'a détecté l'andouillette qui apporte force et caractère sans prédominer. Je n'ai révélé qu'hier cet ingrédient à chéri-chéri, après qu'il mut passé une commande express "de la même mais en grande taille et avec du cognac". Lui qui déteste l'andouillette a été bluffé ! Contente de ma trouvaille :-)
Je vous donne ma recette, à vous de la suivre à la lettre, ou de la réinterpréter fonction de l'inspiration du moment ou de vos stocks.